La pandémie comme choc politique: ce sont les ministres de la Santé qui ont dû démissionner en Amérique latine.
Un peu plus d'un an après le début de la pandémie de coronavirus en Amérique latine, on peut dire que l'émergence du covid-19 n'a pas seulement provoqué une urgence sanitaire sans précédent, des millions d'infections, des victimes, la paralysie de l'économie et l'augmentation de chômage.
En plus de ces graves dommages à la région, le Sars-CoV-2 a pris en charge d'importants politiciens de renom, qui ont été contraints de démissionner en raison de leur mauvaise gestion face à la contingence, ou pour avoir mené des actions répréhensibles.
En fait, de nombreux gouvernements latino-américains ont changé de ministre de la Santé face aux critiques et, dans certains cas, les changements se sont produits jusqu'à deux fois sous la même administration, avec une différence de plusieurs semaines. Parmi les scénarios les plus frappants, il y a des pays qui ont eu cinq ministres dans leur portefeuille de la santé en moins de 12 mois.
À son tour, dans plusieurs pays, l'effondrement du système de soins a fait chanceler l'exécutif, qui pour calmer les eaux et maintenir la gouvernance, a opté pour la démission des fonctionnaires. Dans d'autres, le contexte de débordement, de méfiance et de désaccords avec les chefs d'État a motivé les ruptures, nommant de nouveaux agents de l'assainissement pour tenter d'améliorer la réponse du public. Jusqu'à présent, dans cette partie du continent américain, il y a au moins 18 dirigeants qui ont dû quitter leurs fonctions prématurément.
Merci Darlenis pour cette nouvelle d'actualité. J'avais lu tristement cette nouvelle, tout cela fait partie de la corruption politique au détriment de la grande majorité des pauvres.
RépondreSupprimerBien à toi,
Omar Goris